Il faut ensuite traduire ces flux logiques en flux physiques entre des serveurs en identifiant des protocoles (Soap, http, JMS, T3, etc), des numéros de port, des volumétries, etc.
Le passage des flux logiques aux flux physiques peut s'avérer fastidieux à élaborer, et surtout à maintenir.
Le générateur de flux physique permet de construire et de maintenir une matrice de flux techniques (entre machines) à partir du tableur des flux logiques.
NB : cet outil n'est disponible qu'à partir de la version 2.1 de GRAF
En entrée, on a donc une liste de flux logiques (flul)
En sortie on a une liste de flux physique générique (flug) - i.e. un flux par cluster logiciel - , qu'on pourra ensuite intégrer dans l'IMT.
On ouvre un tableur Fluphy vide, que nous nommerons FY ainsi qu’un tableur de flux généré par GrafFlux que nous nommerons FX et on exécute la macro
« synchronisation ».
On remplit l’onglet \_asel_/ qui permet de décrire l’hébergement sur les serveurs de. l’architecture physique des éléments de l’architecture logique (sous-systèmes, modules, composants). Rappelons que ces derniers sont listés l’onglet « elem » FX. la macro « synchronisation les a recopié dans l’onglet \_asel_/ de FY
On exécute la macro « génération » qui génère les flux physiques dans l’onglet \_flug_/ en appliquant les règles paramétrées dans les onglets \_règle_/ et \_étape_/.
Dans notre prochain article nous mettrons cet outil en pratique sur notre agence de voyage.
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